un projet doit s'appuyer sur une étude de marché

Objectif de l’étude :
faire une étude, en parler, évaluer, concerter
il faudrait pouvoir disposer d'éléments techniques qui permettrait de réaliser un diagnostic sur l’environnement commercial du secteur de vente de Mareuil


connaitre l'état des lieux sur :
1- L’offre commerciale et l’activité de Mareuil:
recenser toutes les structures commerciales : commerce, artisanat, marchés et producteurs en vente directe, rendre compte de l’évolution du nombre de commerces par catégorie d’activités, évaluer le poids des différentes formes de distribution.

2- L’analyse de la consommation des ménages et l'impact sur l'activité commerciale du village selon leurs comportement d'achats :
à partir d’enquêtes menées auprès des consommateurs de la zone, des techniques permettent d'évaluer très précisément les attentes des consommateurs et leurs habitudes de consommation, mais aussi apprécier l’impact du tourisme sur l’activité commerciale.

lieux d’achat des ménages, attraction des pôles commerciaux, La rétention et/ou évasion commerciale et sa destination géographique,

3- Les données démographiques
connaitre les chiffres sur la population globale de la zone, par catégories socio-professionnelles et âges. établir des profils de clientèles.

4- Les opportunités et les menaces du territoire

Par la prise en compte des résultats émanant de l’offre commerciale et du comportement d’achat des consommateurs de la zone, une analyse avec des éléments prospectifs doit être réalisée pour présenter les points saillants de ce diagnostic.

1 commentaire:

  1. Intermarché devrait probablement avoir fait une petite étude de marché pour démarrer un tel énorme projet. Avez vous pris langue avec eux ?
    Je constate que sur le canton les consommateurs se ravitaillent déjà largement en grande surface à Nontron ou Ribérac et même Périgueux-Marsac ou Angoulême-Soyaux. Je pense que cette clientèle importante devrait s'orienter vers Mareuil si l'Intermarché s'installe. Le commerce local ne devrait donc que peu en pâtir, sauf la supérette dont les prix sont, notons le, peu attractifs.
    Je ne vois pas bien ou est le mal dans ces conditions. Les commercants du centre ville ont une clientèle fidèle de proximité ou de préférence liée à la qualité du pain par exemple. Pour conclure il me semble qu'il y ait dans cette polémique locale une réaction poujadiste de certains commerçants épaulé par l'emportement partisan et sectaire d'un courant pseudo-écolo, vaguement bobo, qui ne comprend pas bien ni les désirs ni les intérêts de la population.

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